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Pétition en faveur de Corentin et Coralie

Devant le placement injuste et honteux de Corentin et Coralie, nous devons réagir avec détermination pour qu'ils retrouvent leur vie d'enfant auprès de leur maman!

Trois coeurs brisés, une famille éclatée, des larmes versées, mais de quel droit a-t-on pris une décision si terrible? 

Qui leur rendra la liberté de vivre chez eux entourés de ceux qui les aiment?

Lisez l'histoire d'Isabelle et de ses deux enfants puis signez la pétition:

      

            En 2006:  Isabelle demande le divorce suite à des violences conjugales et familiales.



            En 2009 :  Divorce prononcé aux torts exclusifs de son ex-conjoint, jugement confirmé en août 2010 par la Cour d’Appel, attestant de la violence physique et verbale de cet homme à l'encontre de cette maman et de son fils.

Cet homme aura un droit de visite simple, le samedi et le dimanche après-midi tous les 15 jours. Rapidement les enfants ne voudront plus partir avec leur père quand il vient les chercher et ils ne le reverront pas pendant un an et demi car très vite, il ne viendra plus du tout les voir.

              Consciente que c'est anormal que les enfants ne voient pas leur père, Isabelle sollicite à nouveau la justice. Il est alors décidé que les visites auraient lieu dans un lieu neutre. Les tensions sont telles que les professionnels du lieu neutre rédigent une information préoccupante. Une A.E.M.O (Action Educative en Milieu Ouvert) est décidée pour 4 ans et confiée à la Sauvegarde de l’enfance. Isabelle demande à ce que les éducateurs aident les enfants à rencontrer leur père. Mais après quelques visites seulement dans le lieu neutre, les enfants refusent catégoriquement de le voir et personne ne fera le lien avec le père.

              En 2012: Le travail des éducateurs de l’A.E.M.O est reconnu inopérant  par le juge en charge de cette affaire.

Madame la juge demande une expertise psychologique. Reprenant les dires du psychologue et s’en tenant à ceux-ci, le 26 juillet 2012, madame la juge considère que les enfants sont victimes d’aliénation parentale et estime que les enfants doivent être éloignés de leur domicile car leur santé psychique est en danger mais madame la juge:

- Refuse d’écouter Corentin malgré sa demande d’être entendu seul, par le biais de son avocate lors de la dernière audience du 26 juillet 2012.
- Ne mentionne à aucun moment les faits de violence du père reconnus par la Cour d’Appel dans le cadre du divorce et par la 1ère expertise psychologique qui conclut à la violence de cet homme.
- Ne s’interroge pas sur les intentions du père qui à aucun moment ne souhaite avoir les enfants avec lui, mais au contraire demande leur placement.
- N’indique à aucun moment que les enfants sont épanouis, qu’ils n’ont aucun trouble du comportement, ont une maturité suffisante (confirmée par la 1ère expertise psychologique), suivent une très bonne scolarité, ont des amis, sont rieurs et plein d’énergie...

- Ne s'étonne pas que cette mère, soit disant aliénante, ait demandé à la justice de rétablir les liens de ses enfants avec leur père.

- Ne s'étonne pas non plus que la première analyse psychologique de 2007 ne mentionne une quelconque emprise pathologique de cette mère sur ses enfants.



L’objectif du placement est de faire en sorte que les enfants donnent à leur père sa place et ils devront pour cela le rencontrer avec les éducateurs dans le cadre de visites médiatisées. Mais pour cela, ils sont arrachés à leur mère, leur foyer et leur école. Comment penser qu'ils sont en état de pouvoir adhérer à ce projet qui leur a été imposé avec une telle violence?



La Maison du Rhône destinataire de l’ordonnance, trouve en trois jours seulement (fin août 2012) un établissement. Coralie et Corentin y sont accueillis  le mercredi 5 septembre dernier.









                 

           Ce placement est extrêmement violent pour eux : ils sont du jour au lendemain privés d’un quotidien « normal », avec des horaires respectés et adaptés à leur rythme, des devoirs faits après l’école, des activités, des repas pris en famille… Ils se réjouissaient cet été de retourner dans leur établissement scolaire et de retrouver tous leurs camarades. Au lieu de cela, ils ont du attendre quatre jours pour être scolarisés et intégrer un nouvel établissement (le 10 septembre pour Corentin, le 11 septembre pour Coralie).

Ils sont plongés dans un univers qu’ils ne connaissent pas, dans des problématiques vécues par les autres enfants qui les dépassent complètement. Corentin a été victime à plusieurs reprises de la violence d’un autre jeune, Coralie est régulièrement oubliée le soir après l’école. Ils ont peur et pleurent très souvent.



Si vous aussi, comme tous les membres de l'ACPCC, vous êtes révoltés par ces méthodes, signez la pétition.

Il vous suffit de cliquer sur le lien en haut de page puis de suivre les indications données. Cette pétition sera adressée aux diverses instances en charge de la protection de l'enfance. Vous pouvez aussi copier le lien et l'insérer dans votre navigateur.



                                            





Merci pour Corentin et Coralie!





Ils ont le droit de vivre leur vie d'enfant, avec leur maman, leurs grands-parents et leurs amis!















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